lundi 29 février 2016

20160229 - News : Les parents mis à contribution pour éviter le syndrome Tanguy

Les parents mis à contribution pour éviter le syndrome Tanguy

Selon l’étendue de son patrimoine, il existe de nombreuses façons, plus ou moins faciles à appréhender, d’aider son enfant à quitter le nid familial.

Entre la hausse des loyers et les garanties exigées par les bailleurs, s’envoler du nid familial s’avère de plus en plus compliqué pour ceux qui poursuivent leurs études. Selon l’Union nationale des étudiants de France (Unef), le logement représente plus de 50 % du budget annuel des futurs diplômés. Et, trop souvent, un coup de pouce financier des parents est indispensable.
Si c’est votre cas, n’oubliez pas que cette aide est en partie déductible de vos revenus. Toutes les dépenses de la vie courante sont autorisées, dans la limite de 5 732 euros par an. Dans ce cas, les parents ne bénéficient plus de la ­demi-part supplémentaire pour le quotient familial (une part avec au moins trois enfants).
Attention aux brouilles au sein de la fratrie
L’étudiant doit faire sa propre déclaration d’impôt et bénéficie des aides personnalisées au logement (APL) si ses revenus ne sont pas trop élevés. Les familles plus aisées, qui détiennent un bien immobilier, ont la possibilité de loger leur rejeton gratuitement. Mais sachez que ce coup de main n’est pas sans risque.
Les autres enfants ­peuvent, au décès de leurs parents, reprocher à leur frère ou sœur logé sans frais d’avoir bénéficié d’une donation indirecte. « Ils sont alors en mesure...

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/argent/article/2016/02/29/les-parents-mis-a-contribution-pour-eviter-le-syndrome-tanguy_4873803_1657007.html#ZCZ4PIKXt5TQ0umH.99

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