mardi 31 mai 2016

Le tournage du Star Wars consacré à Han Solo prévu en janvier 2017

Le tournage du Star Wars consacré à Han Solo prévu en janvier 2017



À l'occasion du Festival du Film Juif d'Atlanta, le scénariste Lawrence Kasdan a révélé que le tournage du long-métrage avec Alden Ehrenreich, réalisé par Chris Miller et Phil Lord, débuterait après les fêtes de fin d'année.
Clap d'ouverture pour la production du deuxième spin-off issu de l'univers de Star Wars. À l'occasion du Festival du Film Juif d'Atlanta, le scénariste Lawrence Kasdan a révélé que le tournage du film réalisé conjointement par Chris Miller et Phil Lord débuterait en janvier 2017.

«Chris Miller et Phil Lord sont aux commandes. Ils sont drôles, géniaux et surtout ils ont beaucoup d'imagination. Nous avons passé de bons moments ensemble. Mon fils Jon et moi, nous avons écrit le scénario, Chris et Phil travaillent dessus et ils vont prochainement s'installer à Londres pour commencer à tourner le film en janvier. Je suis impatient, ça devrait être fun», a déclaré Lawrence Kasdan.

Voilà une nouvelle qui réjouira plus d'un fan de la célèbre saga créée par George Lucas. Ce spin-off de Star Wars, qui n'a pour l'instant pas de nom officiel, sera axé sur le personnage d'Han Solo, joué depuis 1977 par Harrison Ford. Si l'intrigue n'a pas encore été dévoilée, l'histoire devrait revenir sur les jeunes années du contrebandier avant sa rencontre avec Luke Skywalker et Obi-Wan Kenobi à la cantina de Mos Eisley.

Alden Ehrenreich interprétera Han Solo

Après des mois de suspense, les studios Disney et Lucas Film ont révélé, le mois dernier, le nom de l'acteur qui se hissera dans la peau du célèbre pilote du Faucon Millenium. Il s'agit du comédien américain Alden Ehrenreich. L'acteur de 26 ans n'est pas un novice. Il a déjà tourné avec des réalisateurs renommés tel que Francis Ford Coppola (Tetro et Twixt), Richard LaGravenese (Sublimes créatures) ou encore Woody Allen (Blue Jasmine).

Le PDG de Disney, Bob Iger, a également annoncé que le personnage de Chewbacca devrait faire une apparition dans le long-métrage dont la sortie au cinéma est prévue pour mai 2018.

10 conseils de sexologues pour une sexualité de couple plus épanouie

10 conseils de sexologues pour une sexualité de couple plus épanouie



SEXUALITÉ - Lorsqu’on est en couple depuis des années, le sexe n’est pas toujours spontané. C’est quelque chose qui doit parfois se travailler, 

SEXUALITÉ - Lorsqu’on est en couple depuis des années, le sexe n’est pas toujours spontané. C’est quelque chose qui doit parfois se travailler, même si, culturellement, cette idée est un peu difficile à admettre.

"Je ne m’explique pas vraiment pourquoi nous voulons que le sexe soit quelque chose de spontané", nous explique Megan Fleming, psychologue et sexologue basée à New York. "Le fait est que, chez la plupart des couples, il faut que toutes les conditions soient réunies pour faire l’amour, qu’ils soient reposés et détendus."

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des astuces pour s’adonner plus souvent au sport en chambre. Voici quelques conseils prodigués par notre spécialiste et quelques-uns de ses collègues.

1. Testez de nouvelles sensations, encore et encore

"Lorsque vous testez de nouvelles pratiques, détendez-vous et vivez le moment présent. Tentez de nouvelles choses, recommencez et évaluez votre ressenti. Donnez plus de place aux sensations qui vous procurent du plaisir, tout en faisant certains ajustements et en essayant de nouvelles choses." – Megan Fleming

2. Lancez l’idée d’un câlin à tour de rôle

"Il arrive trop souvent que l’un des deux partenaires ait plus envie de faire l’amour que l’autre, ce qui peut, à la longue, provoquer un sentiment d’humiliation et de culpabilité chez l’initiateur/l’initiatrice. La vie sexuelle dans un couple serait plus équilibrée si chaque partenaire proposait à tour de rôle d’aller batifoler sous la couette." – Moushumi Ghose, sexologue et auteur du livre Classic Sex Positions Reinvented.

3. Couchez-vous à la même heure



"Aller au lit en même temps que son partenaire est un rituel qui renforce la relation amoureuse. Les confidences sur l’oreiller, et le fait d’être couchés côte à côte tout en étant encore éveillés, sont plus propices aux ébats amoureux." – Laurel Steinberg, psychothérapeute spécialisée dans les troubles de la sexualité.

4. Cessez de voir le sexe comme une obligation sur votre planning

"J’aimerais que chacun prenne le temps de lever le pied, de se poser et de se ressourcer pour être disponible affectivement et physiquement, pour profiter de moments sensuels à deux. De nombreux couples sont surmenés, stressés, et voient le sexe comme une obligation à rayer de leur planning afin d’être à nouveau productifs. Dans l’idéal, faire l’amour doit être un moment de pure détente et de plaisir. Mais, dans les faits, il faut prendre le temps de se rendre disponible." – Sari Cooper, sexologue diplômée, coach sexuelle et présentatrice de l’émission Sex Esteem, diffusée sur le web.

5. Voyez le porno d’un autre œil

"Lorsque le porno pose problème au sein d’un couple, ce n’est pas lui qui en est responsable mais plutôt les cachotteries qu’il engendre. Mon conseil: accordez-lui une place dans votre couple. Regarder du porno à deux est un bon moyen de provoquer l’excitation qui conduit au désir sexuel. Explorez les différents types de pornos, comme si vous zappiez d’une chaîne à l’autre. Vous n’êtes pas obligé d’aimer tout ce que vous verrez." – Ian Kerner, sexologue et auteur du livre Elle d'abord: Petit guide à l'intention des hommes pour faire plaisir aux femmes, best-seller du New York Times.

6. Parlez de vos fantasmes et désirs les plus secrets



"Ne vous contentez pas de discuter de ce que vous aimez faire au lit ou de vos zones érogènes. Découvrez si votre partenaire veut être dominé-e ou dominant-e. Sachez si vous pouvez ou non aller au-delà des comportements sexuels conventionnels (la"sexualité vanille"). Si davantage de couples arrivaient à parler ouvertement de leurs désirs et fantasmes les plus secrets, leur intimité s’en trouverait renforcée, sans parler de l’excitation et de la tension sexuelle ressenties!" – Moushumi Ghose

7. Dormez nu-e (au moins de temps en temps).

"Dormir nu-e au côté de votre partenaire favorise le peau à peau et permet de ressentir encore davantage votre excitation mutuelle, ce qui augmente les chances de faire de l’amour." – Laurel Steinberg

8. N’ayez pas peur de parler de sexe

"Beaucoup de couples ont du mal à parler de sexe de manière positive et directe. En thérapie, je dois souvent leur apprendre à évoquer leur vie sexuelle sans que cela tourne à l’engueulade. La discussion doit se faire sur un ton léger, en répondant de manière sincère à des questions sur ce qui leur plaît ou non." – Angela Skurtu, sexologue et conseillère conjugale à Saint-Louis (Missouri).

9. Arrêtez de considérer la pénétration comme une fin en soi



"Si l’on compare sexe et nourriture, la pénétration est généralement le plat que l’on sert le plus, même si les recettes sont assez limitées. Essayez donc de l’enlever de la carte, mais gardez les orgasmes, et voyez ce que vous réserve ce menu torride. Testez les rapports sans pénétration: les caresses manuelles et bucco-génitales, les baisers profonds et autres frottements." – Ian Kerner

10. Planifiez un rendez-vous coquin

"Le mariage platonique est l’une des préoccupations les plus courantes des couples d’aujourd’hui. Quand ils se décident à consulter, ils ont souvent arrêté de faire l’amour depuis des années. En tant que sexologue, je rencontre tous les cas de figure et je donne à presque tous les couples la même consigne: planifiez un moment en amoureux. Cet engagement doit toutefois être tenu, parce qu’il est très facile couples de transformer un rendez-vous coquin hebdomadaire en quelque chose de plus conventionnel, et de faire l’impasse sur la sensualité, les échanges tactiles, et sur une bonne vieille partie de jambes en l’air. Pour pimenter sa vie sexuelle et sortir de la routine, il faut prendre le temps de se (re)découvrir pour le plaisir." – Patti Britton, coach sexuelle et auteur de The Art of Sex Coaching: Expanding Your Practice.

Cet article, publié à l’origine sur le Huffington Post américain, a été traduit par Laura Aznar pour Fast for Word.

Pour la moitié des parents, l'école n'est plus adaptée aux enfants d'aujourd'hui - Le Point

Pour la moitié des parents, l'école n'est plus adaptée aux enfants d'aujourd'hui - Le Point



Plus de la moitié des parents d'élèves estiment que l'école contemporaine n'est plus adaptée aux enfants de la génération actuelle, révèle un sondage publié mardi.

Quelque 52% des parents interrogés par OpinionWay pour la fédération des parents d'élèves de l'enseignement catholique (APEL), en partenariat avec La Croix, jugent que l'école n'est plus adaptée aux enfants d'aujourd'hui. Ce pourcentage grimpe à 77% pour les parents de lycéens.

Les parents mettent l'accent sur la nécessité "de tenir compte des différences individuelles entre élèves" (à 92%) et d'"adapter les pédagogies" (à 91%). Ils prônent la réduction du temps scolaire à une demi-journée (à 73%) et le remplacement des classes traditionnelles par des regroupements selon les niveaux de performances (à 63%).

Ils insistent également à 89% sur l'importance de veiller au bien-être des élèves, selon cette enquête réalisée auprès de parents d'enfants scolarisés dans le public et le privé.

La transmission des savoirs et connaissances fondamentaux devrait rester la priorité de l'école pour la moitié des parents (alors qu'elle ne remplit ce rôle en priorité que pour 44% d'entre eux). Mais les attentes vis-à-vis de l'école contemporaine "sont recentrées sur l'individu" et "l'épanouissement de l'élève", note Julien Goarant, directeur des études à OpinionWay.

"On souhaite une individualisation des parcours tout en faisant des élèves des personnes qui ne soient pas individualistes", relève Caroline Saliou, présidente de l'Apel, dont le congrès se déroule à Marseille en fin de semaine avec pour thème "Pourquoi l'école?".

L'enseignement privé catholique sous contrat accueille quelque 18% des enfants en France.

Le sondage a été réalisé en ligne par OpinionWay les 13 et 14 avril, auprès de 544 parents d'élèves.

31/05/2016 15:59:20 -  Paris (AFP) -  © 2016 AFP

Migrants : une ONG publie la photo d'un bébé mort noyé en Méditerranée

Migrants : une ONG publie la photo d'un bébé mort noyé en Méditerranée



Sea-Watch, qui participe aux opérations de sauvetage de migrants en Méditerranée, souhaite alerter l'opinion et pousser les responsables européens à agir.
«Si nous ne voulons plus voir de telles images, nous devons mettre fin à cette situation!» L'ONG allemande Sea-Watch, qui participe aux opérations de sauvetage de migrants en Méditerranée, entend ainsi alerter l'opinion européenne. Les images en question sont celles d'un tout jeune enfant mort noyé au large des côtes libyennes. Diffusées lundi, elles ont été prises trois jours plus tôt par un photographe indépendant après le naufrage d'un navire transportant quelque 350 migrants. «Beaucoup d'entre eux étaient déjà morts lorsque l'équipe Sea-Watch est arrivée», relate l'organisation qui dispose de deux bateaux en mer Méditerranée. Sur les images, l'enfant apparaît dans les bras d'un sauveteur à bord d'une embarcation. L'ONG ne donne pas davantage de précision sur l'âge et l'identité car, son navire ne pouvant accueillir de migrants à son bord, le corps a été transféré sur un navire de la marine italienne.

À l'arrivée des secouristes, l'enfant flottait dans l'eau les bras étendus, raconte à Reuters le sauveteur de Sea-Watch photographié. «J'ai attrapé le bébé par les avant-bras et j'ai immédiatement tiré le petit corps vers moi pour le protéger, comme s'il était encore vivant, poursuit l'homme qui a souhaité garder l'anonymat. Ses bras étaient tendus avec ses petits doigts en l'air, le soleil éclairait ses yeux lumineux et chaleureux, mais sans vie.» «J'ai commencé à chanter une chanson pour me réconforter et essayer de donner le moindre sens à ce moment déchirant et incompréhensible. Il y a six heures, cet enfant était vivant.»

Au total, vingt-cinq autres corps ont été repêchés dans le naufrage. La semaine dernière, au moins 880 migrants, dont une quarantaine d'enfants, ont trouvé la mort au large de la Libye, selon le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés.

Consciente que les photos diffusées sont susceptibles de choquer l'opinion, l'équipe du Sea-Watch a unanimement approuvé la diffusion de deux images. «La gravité de la situation exige la publication», justifie l'ONG. «Ces images tragiques doivent être vues par la société européenne car les tragédies sont la conséquence de la politique étrangère européenne.» Son fondateur, Harald Höppner, met ainsi clairement en cause les autorités européennes «Dans le sillage de ces événements terribles, il devient clair que les appels des politiciens européens à mettre un terme à ces morts en mer ne sont que des mots.» «Seul l'établissement de nouveaux systèmes assurant des entrées légales et en sécurité dans l'UE peut finalement conduire à en finir avec cette tragédie humanitaire», poursuit Sea-Watch.

Ces nouvelles images ne sont pas sans rappeler celles du corps sans vie du petit Aylan, Syrien de trois ans retrouvé noyé en septembre sur une plage turque. La photo avait fait le tour du monde et suscité une vague d'indignation planétaire. Seulement, aujourd'hui, son père Abdullah Kurdi ne cache plus son dégoût. «Des enfants réfugiés continuent de se noyer chaque jour, la guerre en Syrie n'a pas stoppé», explique-t-il ce mardi dans les colonnes du quotidien italien La Repubblica. «Je vois certains pays construire des murs, d'autres ne pas vouloir nous accueillir. Mon Aylan est mort pour rien, très peu de chose a changé.»

L’étude santé du jour : remplacer les tampons par une coupe menstruelle peut améliorer votre vie sexuelle – metronews

L’étude santé du jour : remplacer les tampons par une coupe menstruelle peut améliorer votre vie sexuelle – metronews



A l’heure où les dioxines, glyphosate et autres pesticides sont suspectés d’envahir les protections périodiques, la coupe menstruelle se présente comme une alternative aux tampons et aux serviettes hygiéniques. Mieux, elle aurait des effets bénéfiques sur la vie sexuelle, selon une étude menée par la marque Intimina et relayée par leDailymail britannique. Comment ? Le port de la coupe menstruelle limite le risque de sécheresse vaginale et tonifie les muscles vaginaux.

EN SAVOIR + >> Les tampons et serviettes hygiéniques "potentiellement toxiques"

 
 Méthodologie : 1 500 femmes questionnées 
Pour cette enquête, la société d’hygiène intime, Intimina, qui vend aussi des coupes menstruelles, a interrogé près de 1 500 femmes. Les volontaires ont rempli un questionnaire en détaillant leurs sensations pendant leurs périodes menstruelles, et notamment après avoir arrêté d’utiliser des tampons. Mauvaises odeurs, sécheresse intime, vie sexuelle, crampes ou encore sommeil, aucun sujet n’a été épargné aux sondées.

 Ce que l’étude a montré : 26% ont une meilleure vie sexuelle
Concernant la vie sexuelle, 26% des sondées ont déclaré être plus épanouies au lit lorsqu’elles utilisaient la coupe menstruelle. Une constatation qui s’explique par une diminution de la sécheresse intime (dans 66% des cas) et un meilleur tonus vaginal. Également, 46% des interrogées ont vu la qualité de leur sommeil s’améliorer grâce à la coupe. Plus globalement, 84 % d’entre elles se sentent plus en confiance et 78% déclarent être plus à l’aise. En effet, 62% des femmes ont remarqué une diminution des mauvaises odeurs pendant la période de règles et 34% ont eu moins de crampes au niveau du bas ventre.

EN SAVOIR + >> Témoignage - "Pourquoi j'ai adopté la coupe menstruelle"

 Ce qu’il faut en conclure : une alternative aux tampons et serviettes hygiéniques
Tampons, serviettes et maintenant coupe menstruelle…En période de règles, les femmes ont de plus en plus de choix. Et parmi toutes ces options, la coupe menstruelle serait LA solution pour éviter les effets secondaires des autres protections, comme les sécheresses vaginales, les démangeaisons ou encore les mauvaises odeurs.

En forme de cloche, le petit objet en silicone médical s’introduit comme un tampon. Maintenue grâce aux muscles vaginaux la coupe "récupère" le sang. Elle doit être vidée et rincée deux à trois fois par jour, selon le flux. Et pour une utilisation hygiénique, l’objet doit être stérilisé avec de l’eau bouillante entre deux périodes menstruelles. De plus les coupes pourraient vous faire faire des économies puisqu’elles peuvent être conservées jusqu’à 10 ans. Les intéressées pourront trouver leur bonheur en pharmacie à partir de 30 euros.

EN SAVOIR + >> Règles : la coupe menstruelle, petit mode d'emploi

L'origine du terme "bug" pour un problème informatique | Presse-Citron

L'origine du terme "bug" pour un problème informatique | Presse-Citron



L’utilisation du « bug » pour un dysfonctionnement informatique date des années 40. En s’introduisant dans les gros relais, les insectes causaient des « bugs ».
Ce micro-récit, que je relaye, a été raconté sur The Next Web. Le 9 septembre 1945, Grace Hopper, un officier de l’US Navy,  travaille sur un ordinateur Harvard Mark II (l’un des ancêtres du PC ?). Elle trouve un papillon coincé entre les  relais électriques de la machine. A l’époque, les ordinateurs remplissent un volume considérable (des salles entières), consomment beaucoup d’énergie et produisent beaucoup de chaleur. Une température qui attire de nombreux insectes (bugs en anglais) qui s’invitent un peu partout entre les composants des machines.

Le papillon en question cause un court-circuit et provoque un dysfonctionnement de l’ordinateur. Et c’est de là que viendrait l’expression « bug dans l’ordinateur ». Celle-ci n’a peut-être pas été inventée par l’officier de la Navy. Mais comme elle tenait un journal, il s’agirait du premier rapport de bug de l’histoire.

Avec le progrès technologique, nous avons maintenant des PC et des Mac très compacts. Mais l’expression a continué à être utilisée, même si l’époque des papillons est bien révolue. Désormais, « bug » ou bogue en français, est synonyme de blocage ou de dysfonctionnement. Et le mot est parfois plus utilisé pour désigner un problème de software que de hardware.

Comme le langage évolue, les récentes générations utilisent le « bug » pour exprimer un blocage en général, ne se limitant plus au domaine de l’informatique pour utiliser cet anglicisme.

Mais en tous cas, la prochaine fois que vous direz que vous avez eu un « bug », rappelez-vous de cet insecte que l’officier de la Navy a pris soin de coller dans son journal.

(Source)

Le Pentagone utilise des vieux ordinateurs. Et alors ? | Presse-Citron

Le Pentagone utilise des vieux ordinateurs. Et alors ? | Presse-Citron



Un hacker explique l'avantage de contrôler des armes nucléaires avec un IBM Series/1 et des disquettes de 8 pouces.
Aujourd’hui, on utilise des machines qui auraient leurs places dans un musée dans certains bureaux de l’administration américaine. C’est en substance ce que l’on conclut d’un rapport récemment publié par le Government Accountability Office. Dans ce rapport, il est par exemple indiqué que le Pentagone, pour coordonner « des fonctions opérationnelles de la force nucléaire des Etats-Unis », utilise encore des machines IBM Series/1 datant des années 70 ainsi que des disquettes de 8 pouces. Cette information, en particulier, a fait le tour du web. Et si de nombreux internautes trouvent cela insensé, des spécialistes en sécurité pensent qu’il y a aussi du bon.

C’est le cas de Cris Thomas, alias Space Rogue, et employé de Tenable Network Security. Il est l’un des fondateurs d’un groupe de hackers qui avait déclaré devant le sénat américain en 1998 qu’ils étaient capables faire tomber internet en 30 minutes. Et aujourd’hui, il explique (cité par Business Insider) que « le plus gros problème de sécurité ici [avec ces machines IBM Series/1]n’est pas que l’ordinateur a 40 ans, mais plutôt la qualité de la serrure de la porte derrière laquelle se trouve la machine ».

En substance, pour lui, l’avantage d’une vieille machine comme celle-ci est qu’il n’est quasiment pas possible de la contrôler, si ce n’est en étant assis devant le terminal. Il ajoute même qu’il « n’y a pas de raison pour que ces machines ne restent pas là les 40 prochaines années », à condition de recopier régulièrement les données dans les disquettes et d’avoir un fournisseur pour les pièces de rechange.

Mais quoi qu’il en soit, le gouvernement américain prévoit déjà de remplacer ses systèmes obsolètes d’ici 2020.

Le pervers narcissique n'existe pas - Le Point

Le pervers narcissique n'existe pas - Le Point



Mal du siècle ou invention bien commode ? Le psychanalyste Marcel Sanguet démonte le mythe du pervers narcissique. Un essai à contre-courant.
Séries télévisées, émissions radio, témoignages, livres, reportages, le pervers narcissique a colonisé l'espace médiatique, qui ne se lasse plus de raconter ses méfaits insaisissables. Cet être brillant, charmeur, dont la jouissance consiste à manipuler l'autre, aurait envahi les entreprises, les couples, les familles, les cours de récréation et les vestiaires des clubs de sport. Le pervers narcissique est partout.

Marcel Sanguet, psychologue clinicien et psychanalyste, examine l'épidémie ravageuse avec circonspection. Dans son ouvrage Le pervers n'est pas celui qu'on croit (éditions Eyrolles), l'auteur démontre que cette nouvelle figure de la psychopathologie du quotidien serait surtout une invention commode, une fable destinée à nous dédouaner de nos propres échecs. Notre époque aurait « inventé la catégorie morale du pervers pour la rendre responsable de nos maux », comme le début du XXe siècle popularisa l'hystérique pour dire le refoulement des désirs sexuels.

Créature fabuleuse

La fabrication du pervers a son utilité. « La notion de pervers, revisitée pour satisfaire à l'actuel mythe de la réalisation personnelle, qui suppose que tout est possible pourvu qu'on se donne les moyens d'y parvenir, permet de se dédouaner de nos médiocrités intimes : si la réussite n'est pas à la clef, la faute en incombe à ses pervers. » Autrement dit, sommés par la modernité de nous accomplir et de nous réaliser magnifiquement, il advient que nous demeurions englués dans nos banalités. Et ici surgit le pervers narcissique. C'est de sa faute – au bureau, à l'usine, en amour – si nous avons renoncé à atteindre nos buts, nos objectifs, notre chiffre d'affaires.

Nous vivons dans l'ère du « tout est possible ». « Que faire quand l'échec s'avance, quand le ratage pointe, quand la militation s'impose ? Deux solutions. La première est l'auto-accusation : le sujet n'est pas à la hauteur de ses attentes, il n'a pas atteint ses objectifs et ne doit s'en prendre qu'à lui-même », écrit l'auteur. C'est alors que se déploie la dépression. « La seconde solution, poursuit-il, est de désigner un autre, animé de malveillance et de la volonté de nuire, comme responsable de l'échec. L'invention du pervers devient une excuse de médiocrité. » La charge est vigoureuse, mais convaincante. Marcel Sanguet conclut d'ailleurs, non sans malice, que « la société fabrique à tour de bras des diagnostics de pervers narcissiques ». Sauf que « des pervers en chair et en os qui se réclament comme tels, il n'y en a pas. Curieusement, cette catégorie en plein essor n'offre que très peu l'occasion de rencontrer un de ses nombreux membres ». Le pervers serait une créature fabuleuse, une fabrication moderne. Un peu pervers, non, cette théorie ?

Une femme décède après s'être masturbée avec un vibromasseur

Une femme décède après s'être masturbée avec un vibromasseur



L'augmentation trop rapide de la pression artérielle consécutive à l'orgasme a provoqué une rupture d'anévrisme chez une jeune femme de 24 ans. Un cas clinique exceptionnel, survenu en 2012.

Décédée après s'être masturbée. C'est ce qui est arrivé à une jeune femme de 24 ans après s'être enfermée dans sa salle de bains pour s'adonner à un plaisir solitaire, en 2012, rapportent quatre ans plus tard des médecins-légistes allemands dans un article paru dans le très sérieux American Journal of Forensic Medicine and Pathology et relayé parSciences et Avenir. C'est son compagnon, inquiet de son absence, qui l'a découverte. Il a défoncé la porte de la salle de bains et a vu la jeune femme, qui avait vomi abondamment, à côté d'un vibromasseur. 
Selon l'autopsie, la jeune femme a eu un orgasme, ce qui d'abord a provoqué une augmentation trop rapide de la pression artérielle, puis la rupture d'un anévrisme -une poche remplie de sang créée par la dilatation anormale d'une paroi d'une artère- et enfin une hémorragie méningée, soit l'arrivée massive de sang dans les méninges. Le sang s'est alors répandu dans des cavités cérébrales, ce qui a provoqué des nausées, des vomissements, mais aussi un "ramollissement cérébral" et un "oedème pulmonaire". 

Un cas très rare

Pas d'inquiétude néanmoins, la masturbation ne tue pas (en général). Il s'agit là d'un cas clinique exceptionnel, explique le blog Réalités Biomédicales, de Sciences et Avenir. Les observations cliniques relatant des cas d'hémorragie méningée mortelle associée à une activité sexuelle sont très rares. "Nous n'avons retrouvé sur une période allant de 1985 à 2012 que deux cas d'hémorragie sous-arachnoïdienne [hémorragie méningée, NDLR] dans notre registre exhaustif. Un cas concerne un homme décédé pendant l'acte sexuel, l'autre est celui de cette femme de 24 ans retrouvée morte dans sa salle de bain"explique le docteur Constantin Blanke-Roeser, de l'Institut de médecine légale de l'université de Hambourg, à Sciences et Avenir. 
La victime ne savait pas qu'elle était porteuse d'un anévrisme cérébral, une anomalie vasculaire qui touche entre 2 et 5% de la population générale. Elle fumait quotidiennement une quarantain...Lire la suite sur L'Express.fr

lundi 30 mai 2016

Dépistage du cancer : des conseils personnalisés - 27/05/2016 - ladepeche.fr

Dépistage du cancer : des conseils personnalisés - 27/05/2016 - ladepeche.fr



En matière de cancer, pas toujours facile de savoir quand se faire dépister. C’est pourquoi l’Institut national du Cancer (INCa) met à disposition de chacun un ensemble d’outils permettant de repérer les examens qui le concernent. Voilà qui rappelle l’importance de la surveillance et du dépistage : plus le diagnostic est réalisé tôt, moins les traitements sont lourds et plus grandes sont les chances de guérison.

Plusieurs outils constituent cette initiative. Principalement l’outil Web « vosconseilsdepistage.e-cancer.fr ». Il permet à chaque internaute, en indiquant son âge et son sexe, d’accéder à une information personnalisée (notamment l’ensemble des dépistages qui le concerne). De plus, vous y trouverez des informations sur les symptômes à surveiller ou encore des conseils de prévention pour réduire autant que possible le risque de cancer.

L’INCa propose en complément plusieurs mémos visuels permettant à chacun d’être informé. Ainsi pouvez-vous télécharger un dépliant d’information proposant une information selon votre profil.

Les professionnels de santé sont eux aussi concernés puisque l’Institut met à leur disposition un « Mémo »

Ce que coûtent encore aux Français les retraités de la SNCF et la RATP

Ce que coûtent encore aux Français les retraités de la SNCF et la RATP





En 2015, le coût de l'ensemble des régimes spéciaux de retraites a été de 6,45 milliards d'euros dont 3,3 milliards pour les agents de la SNCF et 618 millions pour ceux de la RATP, selon la Cour des comptes. Des chiffres en très légère baisse par rapport à 2014.
Chaque année, l'État est obligé d'en appeler aux contribuables pour maintenir à flot les coûteux régimes spéciaux de retraites. Ces régimes, au nombre de onze, sont, pour la plupart, encore plus anciens que la Sécurité sociale, créée qu'en 1945.

Concrètement, ces régimes permettent à leurs bénéficiaires de partir plus tôt. Ainsi, en 2012, les nouveaux retraités de la SNCF avaient en moyenne 55 ans et 10 mois et ceux de la RATP 54 ans (contre 62 ans pour le régime général), selon un rapport du Conseil d'Orientation des retraites de l'an dernier. Des privilèges qui passent mal auprès des Français. 66% d'entre eux étaient ainsi favorables à leur suppression en juin 2013. Et l'actuelle période de grèves ne risque pas d'améliorer les choses.

Un problème démographique

Ces régimes spéciaux concernent encore 721.000 retraités. Ils font face à un lourd déséquilibre démographique. À la SNCF, on dénombre ainsi à peine 152.700 cheminots qui cotisent pour financer les pensions de 270.000 retraités.

La situation est à peine plus favorable à la RATP, avec 42.500 cotisants pour 48.200 pensionnés. Mais, pour parler des autres régimes spéciaux, chez les mineurs il y a 100 fois plus de retraités que de cotisants. Et pour les ex-employés des chemins de fers d'Afrique, il n'y a même plus personne pour financer les retraites des quelque 5.000 pensionnés.

Cette situation oblige donc l'État à verser d'imposantes subventions pour équilibrer les comptes de ces régimes. L'an passé, il lui ainsi fallu encore mettre sur la table 6,45 milliards d'euros, dont 3,28 milliards rien que pour le régime spécial des agents de la SNCF, 1,34 milliard d'euros pour les mineurs et 618 millions d'euros pour les employés de la RATP, selon le rapport de la Cour des Comptes publiés mercredi 25 mai.

Par rapport à 2014, où le coût des régimes spéciaux avait coûté 6,50 milliard d'euros. On observe donc une légère baisse. Mais la Cour des comptes déplore néanmoins que ce coût ait été plus élevé qu'initialement prévu.

Des dérapages dus à la SNCF 

En effet, le gouvernement avait initialement budgété 6,41 milliards d'euros dans la loi de Finances. Il lui a donc fallu remettre 37,6 millions d'euros à la fin de l'année pour que les comptes soient équilibrés.

Ce dérapage est uniquement dû au déficit plus important que prévu du régime de la SNCF: 3,28 milliards d'euros contre 3,19 milliards initialement budgétés. La Cour des comptes constate ainsi que les cotisations liées au régime spécial de la compagnie ferroviaire ont été "surévaluées". Elle souligne également que la budgétisation est rendue plus compliquée "par la faiblesse des prévisions démographiques et financière des caisses" des retraites de la SNCF.

"Ceci met en lumière le besoin d’un investissement supplémentaire des responsables de programme (budgétaire, ndlr) à ce sujet, afin de ne pas les laisser se contenter de jouer un rôle passif de constat de dérapages mal anticipés", conclut la Cour.

Pour 2016, la loi de Finances prévoit pour le moment un coût de "seulement" 6,32 milliards d'euros pour l'ensemble des régimes spéciaux, soit une baisse supérieure à 100 millions d'euros par rapport à 2015. À moins que de nouveaux dérapages soient constatés en cours de route…

Article de  Julien MARION pour BFM Business

"J'ai 55 ans, je ne suis plus rien" : le cri de peur et de colère d'une quinqua en fin de droit – metronews

"J'ai 55 ans, je ne suis plus rien" : le cri de peur et de colère d'une quinqua en fin de droit – metronews





"J'ai 55 ans, et je ne suis plus rien." Margaux est assise, dans ce petit bureau. Au 47e étage de la tour Montparnasse, dans les locaux de sa maison d'édition parisienne. Chemisier blanc, le même que sur la photo de son livre, "Le dernier salaire", qui vient de sortir. Margaux est souriante, classe. Elle a l'air forte, et si fragile. Le regard bleu, franc, qui parfois s'égare vers les murs. Dégage une assurance tranquille, lucide. Mais ce n'est qu'un masque, ou une carapace. Car souvent, au détour d'un mot, d'une question, les larmes pointent. Margaux est esquintée, usée, éreintée. "Je ne plie pas le genou, je ne suis pas à terre", répète-t-elle sans cesse. "Je me bats, mais c'est dur. J'ai très, très peur. Pour moi, c'est fini."

L'histoire de Margaux Gilquin, ressemble sans doute à des centaines d'autres. Il n'y a pas si longtemps, Margaux avait un travail. Elle était assistante de direction, dans une bonne boîte, bonne ambiance, elle travaillait dur, et bien. Plus de dix ans comme ça. Et puis un jour, la société est rachetée. Un par un, tous les salariés de son département ont été licenciés. C'était en 2008. Margaux a 48 ans. "Sur le coup, je ne me posais pas de problème (sic)", raconte-t-elle. "On me disait : tu es diplômée, dynamique, tu n'as plus d'enfants à charge. J'habitais aux portes de Paris, j'étais en pleine force de l'âge". Sur le coup, elle en est sûre : une nouvelle vie s'ouvre à elle. Elle va rebondir, et vite. Sauf que. "La crise était là, et ça a cogné", dit Margaux. La crise, et le décalage. "Je me suis retrouvée propulsée sur un marché du travail avec des codes, des règles, un langage, et même des références vestimentaires qui avaient changé, que je ne connaissais pas. Je me suis rendu compte que j'étais à l'abri dans ma petite société."

"Des gens pressés, prêt à marcher sur n'importe qui"

Margaux a commencé à imprimer des CV. Des centaines, des milliers. A les envoyer, à faire le tour des rues, chercher les adresses de société, toquer aux portes. "Sauf que j'ai découvert que ça ne marchait plus comme ça", sourit Margaux. "Aujourd'hui, il faut s'inscrire sur le site, envoyer des lettres de candidature, se faire accrocher par un robot, avec des mots-clés." Margaux apprend les combines seule, sur le tas. Alors oui, elle s'est inscrite chez Pôle emploi. Elle voyait son conseiller une fois tous les 15 jours. "Elle me racontait sa vie", dit Margaux. "Une fois, je lui ai demandé si elle avait des offres, elle a levé les yeux et les bras au ciel et a dit : 'Moi, vous trouver du travail ? Allons donc…'" Alors, Margaux s'est battu seule. Pendant plus de huit ans, elle a distribué les CV à tour de bras, enchaîné les petits boulots de toutes sortes. Remplacements de secrétaires, voyages d'accompagnement d'enfants, démonstratrice pour croquettes de chat en grande surface, baby-sitter…

Petit à petit, elle a perdu l'espoir d'un CDI, s'est accrochée aux CDD, à l'intérim. Elle en a enquillé un paquet, en quelques années. A chaque fois, il faut postuler, se rendre disponible, se présenter, argumenter, travailler, se faire jeter, et recommencer. Elle a eu des entretiens où on la convoquait pour lui dire qu'on n'avait rien à lui proposer, d'autres où elle n'avait pas le signe astrologique qui convenait. Elle a écumé les job-dating, découvert des entreprises déshumanisées, rencontré des recruteurs au sourire commercial à l'assurance de trentenaire, vu tous ces "gens pressés, prêts à marcher sur n'importe qui pour arriver les premiers". Elle s'est sentie vieille, ringarde, mise sur le côté. "C'est un constat : les sociétés ont évolué. C'est terrifiant, pour nous les seniors, car nous ne connaissons pas ce monde-là." Pendant huit années, Margaux a donc enquillé. Puis les propositions se sont taries. "Ça fait deux ans que je n'en reçois plus", raconte-t-elle. Et, un jour, elle a vu venir ses fins de droits. Finies, les allocations de Pôle emploi.

 
"Je vois les gens dans la rue. Je n'en dors pas. Demain, ça peut être nous."

Quand elle parle de tout ça, Margaux sourit. Pourtant, elle est à vif. Ultra-sensible. "J'ai beaucoup pleuré, beaucoup. Je suis tombée malade, j'ai fait un burn-out, un infarctus", détaille-t-elle, les larmes qui montent. Car c'est dévastateur, le chômage. Ça bouffe la tête. Littéralement. "J'ai pris dix ans", raconte Margaux. "J'ai perdu toute confiance en moi, j'ai perdu le sommeil, j'ai perdu du poids, j'ai perdu ma sérénité. Et petit à petit, je me suis coupée de ma vie sociale." Elle laisse traîner le regard, vers le ciel bleu. "Vous voyez, quand je suis arrivée, j'ai vu tous les gens en terrasse, détendus, à profiter… Je ne peux pas le faire." Elle montre ses habits : "J'achète tous mes habits dans des vide-greniers. Ça fait tellement longtemps que je n'ai pas acheté de neuf, qui soit à moi..." Petit à petit aussi, Margaux a vu s'éloigner ses proches. "Graduellement, on finit par se désociabiliser. D'abord, parce qu'on n'a pas d'argent, même pour un verre. Et puis, de quoi parlent les gens ? De leurs vacances, de leurs week-ends. Moi, le seul sujet que j'ai, c'est la recherche d'emploi."

Aujourd'hui, elle touche l'ASS (Allocation de solidarité). 480 euros par mois. Heureusement, elle est logée. Elle a quitté Paris, est devenue aide pour sa tante Marthe, en Gironde. Mais elle n'est pas sereine pour autant. "On se voit tomber. Et ça va vite. Je vois les gens dans la rue, qui dorment dans leur voiture, fouillent les poubelles. Je n'en dors pas. Demain, ça peut être nous." Margaux fait encore un sourire, mais en une phrase, laisse entrevoir les abysses au-dessus desquelles elle se débat : "J'y ai pensé. Si un jour je me retrouve à la rue, je n'irai pas traîner dans une grande ville. Je partirai dans les montagnes, je sais déjà où." Elle pense, déjà, à un futur de marginale.

"Je me dis : mais combien est-on comme ça ?"

Son histoire, Margaux l'a écrite d'un trait. C'est sorti comme un cri. Désespéré, rageur. De colère aussi. "Quand j'ai reçu le courrier disant que j'étais bénéficiaire de l'ASS, j'ai eu l'impression de me dissoudre", explique-t-elle. "Ça y est, je l'avais sous les yeux, noir sur blanc : j'étais un cas social, une ratée, lâchée de tous côtés. J'avais 54 ans, je travaillais depuis que j'avais 17 ans, je n'étais plus rien." Elle a quand même eu la force de le finir, ce livre. Et d'aller taper à la porte de XO, cette maison d'édition qui l'a toujours fait rêver. Où son histoire a plu. "J'ai été étonnée de voir les retours, les témoignages, les lettres de gens qui me disent de continuer à incarner le combat des seniors, à interpeller", raconte Margaux. Mais tous ces soutiens, ça ne la réconforte pas. "Au contraire, ça m'attriste. Je vois tous ces témoignages, et je me dis : mais combien est-on comme ça ? Qu'est-ce qu'on va devenir ? On est des quinquas, on doit tenir jusqu'à la retraite. On n'aura pas vécu. Et puis quand on sera à la retraite, on fera quoi ? C'est un gâchis, ce qu'il se passe pour nous."

Son livre, son cri, ont attiré l'attention, un peu. Margaux sort un petit carton, une lettre reçue ce matin. "C'est un mot manuscrit du président Hollande", dit-elle. "Il me dit d'appeler son conseiller." Aucune promesse, mais un nouvel espoir. Un petit. Mais elle le saisit. "On ne nous entend pas, nous, les chercheurs d'emploi, les seniors qui sont sur la touche. Mais on va défendre nos droits, on a droit au travail ! On veut dire qu'on existe, on veut qu'on parle de nous, faire évoluer les choses." Margaux se battra. Jusqu'au bout, la tête haute.

> "Le dernier salaire", de Margaux Gilquin, aux éditions XO. 16, 90 euros.

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La vie de couple? Très peu pour nous! | Krysti Wilkinson

La vie de couple? Très peu pour nous! | Krysti Wilkinson



Le problème avec notre génération qui ne veut pas être en couple, c'est qu'elle se ment à elle-même.
On veut que nos clichés Instagram du week-end montrent deux tasses à café, qu'il y ait une autre paire de chaussures sur les photos pseudo-artistiques de nos pieds. On veut un statut Facebook "En couple" avec son lot de mentions "J'aime" et de commentaires. On veut que les réseaux sociaux nous désignent comme le "petit couple parfait", un rancard pour bruncher le dimanche matin. On veut quelqu'un qui compatit quand vient le moment de reprendre le boulot le lundi, qui nous envoie des textos pour nous souhaiter une bonne journée, quelqu'un avec qui partager notre fast-food hebdomadaire, un-e cavalier-ère pour tous les mariages auxquels on ne cesse d'être invités (mais comment font ces gens pour trouver l'âme sœur?). Mais notre génération ne veut pas d'une vie de couple.

Sur Tinder, on "swipe" à gauche pour passer au suivant, toujours dans l'espoir de rencontrer la bonne personne. On essaie de passer commande pour trouver sa moitié comme on va sur Allo Resto. On lit des articles comme 5 moyens de savoir que tu lui plais et 7 méthodes pour qu'il/elle soit à vos pieds", dans l'espoir de transformer quelqu'un en partenaire idéal-e, comme un projet sur Pinterest. On passe plus de temps sur son profil Tinder qu'à travailler sur soi-même. Et pourtant, on ne veut pas être en couple.

On "discute", on s'envoie des textos et des sextos, on va sur Snapchat. On traîne ensemble, on prend l'apéro, on va au café et on boit une bière, tout sauf un vrai rendez-vous. On s'envoie des messages privés sur Facebook pour se retrouver, on parle de tout et de rien pendant une heure, tout ça pour rentrer chez soi et continuer à s'envoyer des textos. On se prive de la chance d'établir la moindre connexion en jouant à des jeux auxquels personne ne sort gagnant. C'est à celui ou celle qui se montrera le/la "plus détaché-e", qui aura "l'attitude la plus nonchalante" et sera le/la "plus sentimentalement indisponible". A ce petit jeu, on finit par gagner le statut de "personne la plus susceptible d'être seule".

On veut la forme d'une relation sans le fond. On veut se prendre la main sans se regarder dans les yeux, flirter sans se parler sérieusement. On veut les belles paroles sans le véritable engagement, les anniversaires à fêter sans se taper les 364 jours restants. On veut vivre un conte de fées mais on refuse de s'impliquer dans le moment présent. On veut créer des liens très forts tout en gardant le côté superficiel. On rêve d'un amour à toute épreuve, sans les épreuves.

On veut accorder notre confiance à une personne, mais pas suffisamment pour qu'elle nous fasse du mal. On veut des répliques à l'eau de rose quand on nous drague sans pour autant se laisser embarquer... ce qui impliquerait la possibilité de se faire larguer. On veut être transportés, mais en gardant les pieds sur terre. On veut continuer à chercher l'amour mais pas tomber amoureux.

On ne veut pas être en couple mais on veut des sex friends, regarder une série et plus si affinités, ou des photos de nus sur Tinder. On veut tout ce qui nous donne l'illusion d'être en couple sans l'être véritablement. On veut les avantages sans les inconvénients, la victoire sans l'effort. On veut créer le lien, mais pas trop. S'engager juste ce qu'il faut. On avance pas à pas, histoire de voir où la relation nous mène. Aucune urgence à coller des étiquettes, on fait simplement des trucs ensemble, point. On reste sur nos gardes, sans trop s'approcher. On joue avec leurs émotions mais encore plus avec les nôtres.

Quand la relation commence à devenir sérieuse, on fuit. On se cache, on se défile. On se dit : "Un-e de perdu-e, dix de retrouvé-e-s". Trouver l'amour est toujours possible. Le garder, aujourd'hui, c'est autre chose ...

On espère que notre prochain coup de cœur nous rendra heureux-se. On veut pouvoir télécharger la personne idéale comme une nouvelle application, que l'on peut mettre à jour à la moindre anicroche, classer sans encombre, et supprimer quand elle ne nous est plus d'aucune utilité. On ne veut pas voir qui on est vraiment ni, pire encore, aider l'autre à savoir qui il est. On veut dissimuler nos faiblesses derrière des artifices, camoufler les imperfections à l'aide d'un filtre Instagram, choisir un nouvel épisode sur Netflix au lieu d'avoir une vraie discussion. L'idée d'aimer quelqu'un malgré ses défauts nous séduit. Pourtant, nous avons des secrets inavouables que nous ne comptons jamais dévoiler.

Notre génération pense que tout lui est dû, de l'amour au boulot à temps plein à la fin des études. La culture de "la médaille pour tous ceux qui ont participé " nous a appris que si on voulait quelque chose, c'est qu'on y avait droit. Nos cassettes vidéo Disney, usées jusqu'à la corde, nous ont montré l'amour véritable et les happy ends. Avec si peu d'efforts, on se demande bien pourquoi notre prince charmant ne s'est pas manifesté... On attend sans rien faire, inquiets de ne pas trouver chaussure à notre pied. Où est notre lot de consolation? On était pourtant à l'heure au rendez-vous. Où est la relation que l'on est en droit d'attendre? Le véritable amour qu'on nous a promis?

On veut un bouche-trou, pas quelqu'un. Une présence physique, pas un-e partenaire. On veut quelqu'un à nos côtés sur le canapé pendant qu'on fait défiler notre fil d'actu par désœuvrement ou qu'on ouvre une nouvelle application pour passer le temps. On veut jouer sur tous les tableaux: prétendre qu'on ne ressent rien et ne rien cacher de nos sentiments, vouloir être désiré par quelqu'un mais ne désirer personne. On joue les difficiles, juste pour savoir si quelqu'un ira suffisamment loin pour tenter de nous conquérir, un comportement qui nous laisse même parfois perplexes. On discute des règles du jeu entre amis mais personne ne les connaît vraiment. Le problème avec notre génération qui ne veut pas être en couple, c'est qu'elle se ment à elle-même.

WALLY WEST-Led TITANS To 'Unlock the Mystery' of REBIRTH | Newsarama.com

WALLY WEST-Led TITANS To 'Unlock the Mystery' of REBIRTH | Newsarama.com





Newly DC-exclusive series writer Dan Abnett talks about his big plans for what he calls 'the great legacy team of the DC Universe.'

Wally West's return in Rebirth — and his warnings about a "darkness from somewhere" that's infecting the DCU — is just the beginning of the story. The character will share his message of 10 missing years in the DCU as he joins theTitans, a new series by Dan Abnett and Brett Booth that launches in June.

And Newsarama has learned that DC has given Abnett a DC exclusive contract, as he's not only writing the new Titanstitle, but also Aquaman and Earth 2: Society.

Because of Wally's return, Titans will be  "central" to the events unfolding after the revelation that Watchmencharacters have manipulated the DCU, according to Abnett.

The monthly Titans title will spin out of the events of Rebirthwhile also picking up on what happened in Abnett's just-finished Titans Hunt. Wally will join with other team members from Titans Hunt, including Bumblebee, Nightwing, Donna Troy, Gnarrk, Hawk, Dove, Arsenal, Tempest, Herald, and other familiar Titans characters.

Newsarama talked with Abnett about Wally's role on the team, about his early tease of the character's return, and why the Titans are so important for DC's new acceptance of legacy characters.

Le paradoxe des parents : ils croient de moins en moins à l'école, mais comptent de plus en plus sur elle | Atlantico.fr

Le paradoxe des parents : ils croient de moins en moins à l'école, mais comptent de plus en plus sur elle | Atlantico.fr



Extrait de "Materner ou éduquer ? Refonder l'école", de Jean Gabard, aux éditions de Paris 2/2
Les enfants sont souvent envoyés à l’école par des parents qui se sentent obligés de le faire. Ces derniers veulent croire que l’école est obligatoire (alors que seule l’instruction l’est) et n’oublient pas qu’en tant que contribuables, ils ont ainsi un droit de regard sur ce qui est fait à l’école. Ils tiennent à vérifier que leur progéniture, maternée à la maison, est aussi bien « traitée » en classe. Ces parents qui ont tout fait pour lui éviter une éducation castratrice n’ont pas envie de confier à d’autres la fonction répressive non endossée à la maison.
 
Ils veulent au moins avoir un contrôle pour pouvoir éventuellement intervenir et protéger celui qui, sentant l’appréhension des adultes, ne peut que se sentir en danger. Pour beaucoup, l’élève n’est, en effet, plus celui qui a la fortune d’aller à l’école gratuitement mais l’infortuné, malmené par un système infernal. L’école n’est plus un service qui lui est rendu mais un service qu’on lui doit parce qu’il est tenu d’y aller et parce que ses parents payent. Ce n’est plus une chance mais une fatalité. Élèves et parents, en attendent donc, comme en compensation, des résultats et ont tendance à considérer le diplôme comme un dû. Le droit à l’école gratuite et à l’instruction pour tous, qui doit favoriser l’égalité des chances, est ainsi devenu un droit à la réussite pour tous. Ceci justifie leur attente de qualité et de résultats.
Les délégués des parents d’élèves peuvent participer à la marche de l’établissement et contribuer à la rendre plus efficace. En apportant un éclairage différent, ils peuvent favoriser l’adaptation des pédagogies et les relations avec l’individu-élève. Certains utilisent cependant leur fonction comme un Cheval de Troie pour pénétrer « entre les murs » où leur enfant subirait maltraitance et humiliation. Conscients de leur importance, ils ont parfois tendance à revendiquer une place quasi égale aux enseignants pour surveiller leurs activités, quand ils n’opposent pas un contre-pouvoir à leur autorité. Ces parents d’élèves (très souvent d’ailleurs des mères d’élèves ayant craint de donner l’autorité dans la famille à leur compagnon qu’elles sont censées bien connaître et apprécier), sont peu enclins à donner trop de pouvoir à des enseignants qu’ils ne connaissent pas. Ayant parfois des comptes à régler avec l’école, l’idée que leur enfant puisse endurer les épreuves qu’ils ont supportées avec plus ou moins de bonheur quelques années plus tôt, leur est aujourd’hui insupportable. Se sentant chargés d’une mission protectrice, ils s’estiment en droit de surveiller et donner leur avis sur le travail donné, trop ou pas assez important, sur les méthodes trop rébarbatives ou trop rigoureuses, sur les programmes trop lourds ou pas assez approfondis, sur les enseignants trop sévères ou trop laxistes. Ils investissent l’école avec des exigences de consommateurs et sont toujours sur le qui vive pour réagir et même prévenir les traumatismes que pourrait subir leur enfant. Si les enseignants a priori suspects, doivent avoir de l’autorité (71% des Français estiment que les enseignants n’ont « pas assez d’autorité sur leurs élèves ») ils attendent qu’ils l’obtiennent par la qualité de leur enseignement et leur charisme. Les méthodes autoritaires sont acceptées et même parfois recommandées si elles doivent s’appliquer aux autres élèves, elles sont par contre trop sévères si elles concernent leur enfant innocent qui ne peut pas avoir mérité une sanction toujours trop humiliante et injuste.
Compatissants, des parents comprennent le manque de motivation de l’élève et excusent même son absentéisme et sa « légitime révolte », preuve de sa personnalité. Certains deviennent leurs complices pour les soutenir contre l’école. Les conseils de classe destinés à analyser les résultats des élèves et trouver des solutions pour les aider, se transforment parfois en procès de l’enseignant dont on remet en cause les méthodes et l’efficacité, devant les délégués de classe qui ne manquent pas de répandre, par la suite, la « bonne nouvelle » à leurs camarades. Alors que l’élève puni par un professeur recevait une deuxième punition à la maison avant d’avoir eu le temps d’en expliquer la raison, c’est aujourd’hui le professeur qui se voit menacé, s’il n’enlève pas la sanction, avant d’avoir pu la justifier. Ainsi, de même que dans les familles, on ne donne pas l’autorité aux pères qui se retrouvent simples adjoints, des parents n’accordent plus leur confiance aux enseignants qui deviennent pour les enfants-élèves de mauvais serviteurs non cré- dibles qui ne méritent pas d’être respectés ni écoutés.
 
Des parents comptent de plus en plus sur l’École en laquelle ils croient de moins en moins. Ils demandent à celle-ci de tout faire et même parfois ce qu’ils ne font plus eux-mêmes et, à la fois, lui reprochent d’être incapable. Alors que « l’École a surtout une mission d’enseignement et de socialisation qui s’appuie sur les acquis familiaux », le travail d’éducation des enseignants, indispensable pour pouvoir instruire, n’est plus cautionné par de nombreuses familles. L’hésitation de parents « libérés » à reconnaître de la valeur aux enseignants pour leur permettre d’exercer l’autorité à l’école se trouve confortée par la désaffection généralisée pour l’école et le rejet des valeurs qui seraient encore défendues par celle-ci. L’idéologie dominante les renforce dans leur rôle le plus noble qui soit aujourd’hui : celui de « maman » défendant son enfant.
Pour des parents modernes l’école ne doit pas seulement instruire l’élève, elle doit surtout favoriser son épanouissement individuel qui devient la condition de sa réussite scolaire. C’est la raison pour laquelle la bonne école qui doit garantir le droit au bonheur des enfants doit forcément fournir les bons résultats espérés. Elle est attendue sur ce point et c’est souvent elle qui sera jugée responsable si ceux-ci ne sont pas au rendez-vous. C’est d’ailleurs maintenant elle que l’on note et classe.
Les exigences des parents mettent la pression sur les enseignants. Elles déresponsabilisent les élèves qui, au lieu d’être portés par un projet parental pour apprendre, se sentent appuyé
s dans leur contestation et continuent d’être des dieux à l’école comme ils le sont à la maison. Ils restent persuadés que c’est au monde qui les entoure de s’adapter à eux et notamment à l’école de faire des efforts pour qu’ils puissent profiter de bonnes conditions.
Extrait de "Materner ou éduquer ? Refonder l'école", de Jean Gabard, aux éditions de Paris, mai 2016. Pour acheter ce livre, cliquez ici

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vendredi 27 mai 2016

20160527 - Journée internationale des Geeks : 5 trucs qui prouvent que vous êtes geek – metronews

Journée internationale des Geeks : 5 trucs qui prouvent que vous êtes geek – metronews





GEEK - Ils jouaient déjà sur un Amstrad ou un Atari et ont vu plus de 10 fois "L'Empire contre-attaque". C'était la première génération. Ce 25 mai, c'est la journée internationale des geeks. Et ils ont bien grandi. Ils ont des petits frères et soeurs qui le sont aussi, voire des enfants qui le sont déjà. Autant dire que le socio-type du geek a évolué. Vous en êtes peut-être aussi.

C'était plutôt une tare il y a encore quelques années mais le geek s'assume désormais. Fini, l'image de l'asocial boutonneux enfermé dans sa chambre, son équilibre alimentaire douteux et son hygiène approximative. Le (ou la) geek 2016 s'assume et son image est même devenue presque sexy.

Voici 5 trucs qui font de vous un geek (et c'est une très bonne nouvelle).

► 1. Vous êtes chic
Les lunettes, les chemises à carreaux, les tee-shirts imprimés (Atari, Amiga avec la grosse disquette...) : ce sont les codes du geek des années 2010. En vrai, celui qu'on appelle hipster, c'est une sorte de post-bobo barbu mais il a piqué tout le style aux geeks. C'est comme ça. 

► 2. Vous aimez la bonne cuisine 
Parce que vous êtes exigent dans vos références mais aussi dans votre menu. Du poulet coco à la Tartine Kibrie, Monsieur Poulpe a été le premier en France à élever la nourriture du geek au-dessus des nouilles lyophilisées et peut-être même de ce que la plupart des gens ont mangé au dîner. Depuis, il existe une grande et noble littérature sur le sujet
► 3. Vous n'avez pas attendu Facebook Live pour être fan de Star Wars
Vous vous sentez même dépossédé d'une partie de votre culture lorsque cette femme (qui ressemble à votre belle-mère ou votre belle-sœur) a découvert Chewbacca en même temps que le masque qui a fait d'elle la risée/la star de Facebook en mai 2016.

Vous, votre tee-shirt est resté le même à travers le temps, c'est juste que l'inscription "Je suis ton père" a revêtu un caractère nouveau depuis que vous êtes papa. Oui, le geek est papa. 

► 4. Vous êtes une geekette

...ou maman ! Le geek (ne plus confondre avec le nerd, merci) n'est pas nécessairement un garçon. Parce qu'on peut parfaitement poutrer du zombie et rester féminine. Un bisou à Marine et Melinda. 

► 5. Devenu chic, vous restez geek
Ok, le geek n'est plus un asocial (prononcez "le geek, c'est chic"). Cela n'en fait pas pour autant monsieur ou madame tout-le-monde. Parce qu'il y aura toujours ce petit truc en plus qui le distingue de la masse, comme la sortie d'un nouvel Assassin's Creed, la référence à l'heure qu'affiche la Freebox ou la résurgence d'une vidéo d'archive. Par exemple l'envoi du premier mail en 1984 (oui, 1984).