PRÉCISIONS - "Rogue One" se dévoile peu à peu dans les colonnes du magazine "Entertainment Weekly". Et après la confirmation de la présence de Dark Vador dans ce spin-off, Gareth Edwards, le réalisateur, se confie sur les scènes retournées qui inquiètent les fans de la saga.
Et si Rogue One n'était pas à la hauteur ? Ce sont des doutes qui traversent l'esprit des fans de la saga, mais également celui du studio Disney. Depuis la demande de ce dernier de retourner des scènes après avoir vu une première version du film, des rumeurs ont couru sur une volonté du studio d'avoir un film au ton plus léger et qui collerait un peu plus au Réveil de la Force, au grand dam de certains. Aujourd'hui,Entertainment Weekly dévoile quelques détails sur ces fameux "reshoots".
Le magazine américain a rencontré Gareth Edwards, réalisateur de ce premier spin-off de la saga Star Wars. Ce dernier a tenu à rassurer les fans : "c'était prévu dès le départ. On a toujours su qu'on aillait reprendre le tournage pour refaire des choses. Nous ne savions tout simplement pas ce qu'on allait pouvoir refaire avant d'avoir vu un premier montage". Il ajoute ensuite qu'il s'agit "que de simples petits détails, qui seront ajoutés aux séquences existantes".
Un ton bien sombre
Mais si ces reshoots ont tant fait parler, selon lui, c'est surtout à cause du temps qu'ils prennent : "on doit réussir à jongler entre les agendas de tous les acteurs et actrices, qui tournent d'autres films à travers le monde. Logistiquement c'est un cauchemar" confie-t-il. Selon Entertainment Weekly, le tournage devrait prendre fin en août, et la musique et effets spéciaux seront ajoutés en septembre.
De son côté, Kathleen Kennedy, présidente de Lucasfilm et productrice de Rogue One, tient à assurer que le ton du film ne sera pas altéré : "l'histoire ne change pas, et pour rassurer les fans, je tiens à dire que le film qui sortira sur les écrans et celui que nous avons toujours voulu". "Le ton sera sombre", confirme Edwards. "Et le studio a toujours été derrière nous pour ça." Alors, convaincu(e)s ?
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