"Kaamelott, le film" : le tournage, c'est pour bientôt ! – metronews
BONNE NOUVELLE – Depuis la fin de la diffusion de la série en 2010, les fans de "Kaamelott" n'attendent qu'une chose : le retour de leurs personnages préférés. Alexandre Astier, l'un des créateurs du show, avait annoncé un film pour les années à venir. Et le tournage pourrait débuter très bientôt.
Les fans de Kaamelott attendent ce moment depuis des années. Près de 6 ans après l'arrêt de la série, qui avait attiré en moyenne 5 millions de téléspectateurs à l'époque de sa diffusion sur M6, va avoir droit à une seconde vie. Sur grand écran, cette fois-ci. En effet, le créateur de la série Alexandre Astier a depuis peu récupéré les droits surKaamelott et confirmé travailler sur l'écriture d'un scénario pour un long-métrage.
Depuis, le principal concerné n'avait pas vraiment donné de nouvelles. Mais selon François Rollin, l'interprète du roi Loth d'Orcanie s'est confié sur l'antenne deFréquence ESJ. Interrogé au sujet du film, il a déclaré : "Il se tournera probablement en janvier et il est plus que vraisemblable que j'en fasse partie". La patience des fans devrait donc enfin être récompensée, début 2017.
Kaamelott, le film : un projet pour surprendre
En décembre 2015, Metronews avait rencontré Alexandre Astier, qui avait évoqué la direction qu'il souhaitait donner au long-métrage : "Ça va suivre ce que j’ai envie d’y voir maintenant, les acteurs avec lesquels j’ai envie de jouer, la couleur que j’ai envie d’y mettre. Le film aurait peut-être été plus sombre à l’époque, en sortant direct de la série. Mais maintenant que je ne suis plus dans le même état d'esprit, j’aurais peut-être plus envie de déconner".
En tout cas, une chose est sûre : il ne compte pas se laisser dicter la direction par les adeptes de la série : "Les fans sont compliqués. Satisfaire tout le monde c’est une question qui se pose. J’ai envie de dire qu'il ne faut pas satisfaire, il faut les surprendre. Et c’est chaud parce qu’ils ont pensé à tout. Si j’arrive à faire ça, ce sera bien".
Article de LAETITIA REBOULLEAU pour METRONEWS
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